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Prêts pour le Wagner de la saison ?

Publié le par L'Art & la Manière


Samedi 2 mars  18h
 

au cinéma Axel
 

PARSIFAL

avec Jonas Kaufmann, Katarina Dalayman, René Pape
Direction musicale : Daniele Gatti
Mise en scène : François Girard

 

 
Petite revue de presse
 
« Près de 130 ans après sa création, François Girard s'est donné pour folle mission de rendre actuelle la trame moyenâgeuse du Parsifal de Wagner. Un pari qui lui a valu une longue ovation pour la première au Met de New York. »

« Le Parsifal de François Girard a reçu un accueil dithyrambique au Metropolitan Opera de New York, vendredi dernier. Présentée en grande première dans la Grosse Pomme après avoir triomphé à l’Opéra de Lyon l’an dernier, la relecture du classique de Wagner s’est mérité une ovation debout et a soulevé l’enthousiasme des critiques, qui ont salué l’humanisme et la poésie de la mise en scène du créateur québécois. » Huffingtonpost

 

Un intrus s'est glissé dans ces images. Saurez-vous le démasquer ?...
Un intrus s'est glissé dans ces images. Saurez-vous le démasquer ?...
Un intrus s'est glissé dans ces images. Saurez-vous le démasquer ?...
Un intrus s'est glissé dans ces images. Saurez-vous le démasquer ?...

Un intrus s'est glissé dans ces images. Saurez-vous le démasquer ?...

Rolf Liebermann (ancien directeur de l'Opéra de Paris, compositeur, chef d'orchestre, metteur en scène et producteur) :
"Si on la sort de tout le fatras de sa tradition baroque, de toute la parure métaphysico-chantilly, Parsifal est l'oeuvre de Wagner la plus profonde, la plus intéressante et la plus proche de notre temps.
Parce que c'est une oeuvre qui, à partir de quelques éléments symboliques, découvre la réalité de notre société, de notre époque, jusqu'à ce fond angoissant qui la hante et qui est l'image de sa mort.

C'est l'affaire de notre temps où la question n'est plus celle de la perte du pouvoir ou même celle des moyens de vivre, mais bien celle de la perte de l'espoir.
Monter
Parsifal
, c'est tenir d'un côté le fil mythologique et de l'autre le fil futuriste.
Avec des images qui nous hantent, qui sont dans notre inconscient d'aujourd'hui, celui d'un monde après Hiroshima.
Parsifal renonce à la violence en tant qu'institution du pouvoir."
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